ALL-I-C? You have to read it out loud to understand that it is a rebus in SMS language : « All I see ». ALL-I-C is an online magazine that invites you to meet personalities who dream of re-enchanting the world through immense or tiny acts. An invitation to visit workshops and discover the stories behind the objects. Welcome to the other side of the mirror.
About ALL-I-C Magazine
ALL-I-C is a place where we talk about know-how, where we write about extraordinary trajectories and those rocking moments when everything changes, for the better. ALL-I-C is a platform of expression around which a tribe of friends have gathered. Together, it’s the right attitude. Who is this magazine for? There is no gender or age to be interested in beauty.
About Isabelle Cerboneschi
After my Law Studies, I decided to enter the world of journalism. I wrote for all the columns before opting for these marvelous fields where one meets creators: art, fashion, watchmaking, jewelry, architecture, perfumes, beauty. “Create”. There are few words that have this power to generate thunders in the imagination. For 15 years I was the editor-in-chief of the special issues of the Swiss daily newspaper Le Temps, attending fashion shows, watch shows, visiting artists’ workshops or art craftsmen.
I had the chance to meet the greatest couturiers and designers (Azzedine Alaïa, Karl Lagerfeld, Nicolas Ghesquière,…), monumental architects (Frank Gehry, Christian de Portzamparc,…), photographers and artists who participated in defining the style of an era (Helmut Newton, Roy Liechtenstein,…). Some events are invitations to reinvent oneself. In 2017, after the disappearance of the special issues, I decided to launch my own online magazine. A new adventure…
Contributors
Avec leurs images emplies d’une poésie contemporaine, ils furent les parfaits interprètes de notre imaginaire commun. C’est rare l’alchimie. Les plus belles idées sont souvent nées lors d’un briefing improvisé à la terrasse d’un café parisien.
Ce duo de photographes/stylistes/créateurs/maquilleurs hypertalentueux s’est formé très tôt, sur les bancs de l’école, à Bâle. Ils avaient 7 ans et ne se sont jamais plus quittés.
Ces passionnés de mode ont quitté la Suisse pour Paris. Ils avaient 16 ans et des rêves de création plein la tête. Après deux années intenses d’assistanat pour divers magazines, ils se sont lancés comme stylistes freelance.
Ils ont collaboré avec Tyen, Helmut Newton, Albert Watson, Giovanni Gastel
entre autres. Après 19 ans de collaboration avec Tyen et la maison Dior pour réaliser les campagnes de publicité parfum et beauté, ils ont décidé de prendre leur envol.
En 1993 ils ont lancé leur propre marque de prêt-à-porter femme et hommes – DIDIERANGELO – que l’on retrouvait chez Bergdorf Goodman à New York ou Takashimaya à Tokyo.
En 2005 ils ont réalisé leur premier shooting comme photographes. L’histoire ne faisait que commencer…
Elle a travaillé chez un grand joaillier à New York avant que la photo lui tombe dessus en 2000. Retour à Genève.
Quatre ans plus tard elle s’installe à Paris pour se spécialiser dans la photo de mode.
On reconnait ses images à leurs décors riches et chamarrés, aux filles à la féminité exacerbée, à la sensualité affirmée.
Ces 3 dernières années elle a vécu une mutation. 2017 est une année charnière: elle aspire à plus de poésie, à plus de simplicité et fait ses premiers pas dans la photo d’art.
Michèle Bloch-Stuckens photographie les femmes depuis plus de 15 ans. Son regard a eu le temps de changer. Ce qu’elle a envie d’en montrer aussi. Elle a longtemps tourné autour de la femme, l’imaginant tour à tour fatale, vintage, bourgeoise, séductrice, joueuse, avant d’oser la regarder depuis l’intérieur et faire ressortir une fragilité. La photographe cherche à mettre à nu cette nouvelle femme qu’elle découvre, sensuelle presque malgré elle, plus légère et débarrassée des contraintes de toutes sortes.
Ce qu’elle cherche à montrer de la féminité c’est l’architecture d’une liberté.
Désormais journaliste installée à Paris, elle parcourt le monde à la poursuite des Fashion Weeks les plus exotiques, chronique les podiums des capitales de mode à chaud, dévoile les dessous du milieu, décrypte ses courants d’idées et rencontre ses icônes.
A ses heures perdues, elle enseigne également le storytelling, cet art millénaire de raconter des histoires sur tout et aussi sur rien.
Né, vit, s’agite et travaille à Genève où il se forme à la photographie d’art et d’objet avant de se spécialiser dans la joaillerie et l’horlogerie.
Au sein de son studio Diode, un atelier d’une dizaine de personnes, il enrichit chaque image de son art de la mise en scène et orchestre un éclairage sophistiqué autour de montres, perles, parures et pierres.
Fort de 26 ans de clichés, reportages et travaux personnels, Denis Hayoun sublime de son regard, avec toujours autant de fougue, les créations de la planète Horlogère et les chefs d’oeuvres du petit monde de la Haute Joaillerie.
Et parmi cette tribu hétérogène, un sourire surmonté d’une cascade de cheveux blonds: Sébastien Bauer.
Diplômé de cinéma à la Sorbonne en 2005, réalisateur de documentaires et d’émissions pour la télévision française, il s’est peu à peu spécialisé dans les reportages de mode, domaine dans laquelle il évolue depuis 2007.
En 2015 il a co-fondé l’agence de films (TITREPROVISOIRE) dont il est est le producteur-réalisateur.
Son regard est singulier: il promène sa caméra au plus près de son sujet: une main qui brode, un pétale de tissus en phase de découpe, un drapé hasardeux qui s’invente autour d’une cuisse pour se défaire au pas suivant. Là, tout près, il sait qu’il saisit l’essence du moment, il capture l’intelligence du geste. Précieux.
Elle aime la nature, passionnément, et les belles choses qui ont un vécu, mais ce sont surtout les gens et leur trajectoire qui la fascinent.
Aimée Hoving à étudié à l’ECAL et a obtenu un BA en communication visuelle spécialisation photographie. Elle a participé à plusieurs expositions de groupe et a obtenu la Bourse Fédérale et le prix de la Fondation Leenards.
La photographe travaille dans la tradition des grands peintres: les portraits de cour de Velázquez, la lumière particulière d’un Vermeer… Son travail possède une puissance particulière. Aimée Hoving réussit à capter dans un regard l’immensité d’une vie en devenir. Elle se confronte à ses propres ombres et les met en lumière. Il y a une part d’alchimie dans son travail.
Aimée Hoving a travaillé pour de nombreux magazines: Wallpaper, Libération, Vogue Japon, Les Echos Dimanche, Die Weltwoche, Encore, Bilan,… Elle est aussi membre du collectif Synergik.ch.
Il déménage à l’âge de 14 ans au Liban, il fuit les problèmes.
Sur sa terre d’origine, il vit Beyrouth, les yeux qui brillent.
16 ans, il déménage à nouveau, cette fois-ci à Toulouse, la ville rose.
18 ans, BAC en poche, il quitte le sud pour Paris et sa Tour Eiffel.
21 ans, diplômé d’ESMOD, il décroche un stage chez Stiletto.
Il obtient son premier contrat comme rédacteur mode & culture.
Il évolue sous le regard de Laurence Benaïm, il écrit en prose.
Suite à la fermeture du magazine, il vole de ses propres ailes.
Il fait de la com chez Totem, il écrit aussi pour Playboy France.
Il écoute Oum Kalthoum, il lit Sagan, il adore Paris à la vie.
Il admire Wong Kar Wai, il voyage, il s’évade, il respire.
Il garde sa curiosité et son envie d’écrire encore et toujours.
Élevée dans une famille où la veine artistique, littéraire ou scientifique alternent d’une génération à l’autre, elle n’a eu de cesse de sonder les multiples univers de la créativité.
Après une licence en Histoire de l’Art, puis une formation de peintre-scénographe, son appétit de découvertes dans des domaines très variés l’a conduite à acquérir, au cours de nombreux stages à travers le monde, une vaste palette de techniques artistiques, du trompe-l’oeil aux marionnettes puis à l’illustration botanique, en passant par la peinture chinoise, la miniature indienne, ainsi que l’illustration sous diverses formes.
Aujourd’hui elle partage son expérience, ses recettes ainsi que les trésors accumulés sous forme d’ateliers d’exploration pour ceux qui veulent se donner la chance de découvrir ou de retrouver leur part créative.
Entre peinture et écriture, une vie d’investigation au royaume de la lumière et de la couleur, assortie d’un chemin dévoué à l’expression sincère de la beauté profonde des êtres et des choses, comme de la nature qui les a fait naître.
Fruit d’un métissage aux origines congolaises, françaises et néo-zélandaises, elle se sent proche d’une réalité connexe. En 2010, suite à un stage déterminant en communication à la Fédération de la Haute Couture et de la Mode à Paris, elle décroche un travail d’attachée de presse au sein de l’agence TOTEM, réputée pour avoir découvert le grand couturier Raf Simons, et devient directrice de la presse en 2014.
Elle revendique préférer la mode au luxe, avec un penchant très affirmé pour les années 80. En parallèle à ses activités professionnelles et sa vie de famille, elle continue de lire dans les métros, prend plaisir à écrire des portraits, se fascine pour l’âme humaine, et produit régulièrement des chroniques littéraires sur des oeuvres qui la touchent.
Il y a huit ans, elle est tombée amoureuse du monde digital et à transformé Cent en magazine online, créant ainsi l’une des premières plateformes digitales interactives célébrant la mode, les arts, le design, la musique, le cinéma, et tous les autres secteurs d’activité créative.
Puis elle a commencé a créer des sites pour des marques, et ainsi que d’autres plateformes d’expression sur le Net.
Elle passe ses journées à diriger son magazine préféré Cent, tout en essayant en vain de se faire aimer par son chat, Madame Pushkin.
Après avoir longtemps travaillé dans la publicité, elle a fait le pas vers le journalisme et dirige désormais le magazine féminin La Vida en Rosa. Un magazine formidable dédié aux femmes qui sont atteintes du cancer, où elle développe des sujets concrets, destinés à accompagner et aider les patiente, comme des sujets plus lifestyle qui répondent à des besoins précis des femmes en traitement.
Valérie Dana préside également l’association Club Rose qui organise événements culturels pour femmes à Madrid. Son métier, c’est à la fois un engagement et une passion. Elle s’y dédie à cœur ouvert.
Ayant toujours aimé la photo, elle a décidé de s’initier de manière plus assidue à l’art de la photographie en 2017.
Devenir photographe, capturer à travers son objectif l’instant présent, offrir des images qui sachent rendre compte d’une sensation, d’une humeur, d’une musique, c’était son but. Stéphanie Page aime particulièrement le portrait, pour la rencontre, mais aussi pour tout ce qu’elle arrive à capter d’une certaine vérité. Elle a aussi une affection pour les clichés fashion décalés, ou ceux qui ont une connotation sombre, presque noire.
La photo lui permet enfin de capturer et saisir à travers son objectif des instants qu’elle n’a pas su voir, ni capter dans sa vie d’avant.
Son premier voyage à Tahiti, elle l’a réalisé en octobre 1995. Et alors que l’avion se rapprochait de l’île, ce fut le coup de coeur. Elle est tombée en amour pour le lagon bleu qui étincelait sous le soleil comme un diamant, pour l’île de Moorea qui ressemblait à une émeraude enchâssée dans les eaux, et pour les perles, qui allaient devenir son nouveau destin.
Après avoir vendu sa société de marketing internet qu’elle avait fondée dans la Silicon Valley, elle s’est dédiée à la perle, a rencontré des fermiers, et surtout elle a voulu tout apprendre de ce marché, devenant experte avant de lancer une entreprise de perles gravées.
En 2011 elle a créé Atelier Leseine, où elle a commencé à explorer le design de la perle, à la manière de la haute couture.
Nathalie Leseine vit entre San Francisco et Tahiti, et elle aime à raconter cette île dont elle est tombée amoureuse.
Après avoir suivi une formation de photographe de studio, Marc Amiguet s’oriente résolument vers le journalisme à la fin des années 1990. Flairant la révolution numérique qui allait balayer le métier de photographe argentique traditionnel, il accomplit son stage dans une rédaction, comme journaliste de presse écrite.
Il travaille ensuite une dizaine d’années comme journaliste d’édition et responsable photo dans la presse économique, notamment pour PME magazine et Private Banking, gardant toujours un pied dans la création visuelle et l’autre dans l’écriture.
Passionné par le monde horloger, c’est du côté du département de la communication d’une célèbre marque horlogère chaux-de-fonnière qu’il va œuvrer dès 2010. Il rapatrie ses activités début 2014 sur la Côte vaudoise où il fonde une agence délivrant du contenu sous de multiples formes : rédactionnel et visuel, tant photo que vidéo.
Marc Amiguet est membre du collectif Synergik.ch.
Rédacteur en chef des magazines horlogers Watchonista.com jusqu’en 2017, il a dirigé jusqu’en 2014 le JSH – Journal Suisse d’Horlogerie, le plus ancien magazine horloger fondé en 1876, Heure Suisse et Heure Schweiz Magazin, ainsi que de l’Année Horlogère Suisse.
Ce descendant d’une famille d’horlogers, originaire du Val de Travers (la Côte-Aux-Fées, dans la région de Fleurier) est également le Président fondateur de l’association ProWatCH, pour la promotion de la culture et des savoirs horlogers suisses.
En 1993, il a cofondé pour le Groupe Ringier les magazines Montres Passion et Uhren Welt, ainsi que le prix Montre de l’Année. Membre de la SSC, Société Suisse de Chronométrie, il est aussi juré du prestigieux prix Gaïa du Musée International de l’horlogerie à La Chaux-de-Fonds. En 2007, il a créé le très indépendant et influent bloghorloger.ch.
Parallèlement à l’horlogerie, il continue d’être membre actif de PressTourism.ch, l’Association suisse des journalistes spécialisés «Tourisme et Voyages».
Ce père de 4 enfants, est aussi un artiste, auteur de plus de 200 chansons inscrites à la Suisa et il participe actuellement, sous la férule d’un collectionneur d’horlogerie, à l’écriture d’un livre de référence sur les cadrans de montres. www.TaGPress41.info
Après avoir suivi une formation de photographe de studio, Marc Amiguet s’oriente résolument vers le journalisme à la fin des années 1990. Flairant la révolution numérique qui allait balayer le métier de photographe argentique traditionnel, il accomplit son stage dans une rédaction, comme journaliste de presse écrite.
Il travaille ensuite une dizaine d’années comme journaliste d’édition et responsable photo dans la presse économique, notamment pour PME magazine et Private Banking, gardant toujours un pied dans la création visuelle et l’autre dans l’écriture.
Passionné par le monde horloger, c’est du côté du département de la communication d’une célèbre marque horlogère chaux-de-fonnière qu’il va œuvrer dès 2010. Il rapatrie ses activités début 2014 sur la Côte vaudoise où il fonde une agence délivrant du contenu sous de multiples formes : rédactionnel et visuel, tant photo que vidéo.
Marc Amiguet est membre du collectif Synergik.ch.
Après avoir suivi une formation de photographe de studio, Marc Amiguet s’oriente résolument vers le journalisme à la fin des années 1990. Flairant la révolution numérique qui allait balayer le métier de photographe argentique traditionnel, il accomplit son stage dans une rédaction, comme journaliste de presse écrite.
Il travaille ensuite une dizaine d’années comme journaliste d’édition et responsable photo dans la presse économique, notamment pour PME magazine et Private Banking, gardant toujours un pied dans la création visuelle et l’autre dans l’écriture.
Passionné par le monde horloger, c’est du côté du département de la communication d’une célèbre marque horlogère chaux-de-fonnière qu’il va œuvrer dès 2010. Il rapatrie ses activités début 2014 sur la Côte vaudoise où il fonde une agence délivrant du contenu sous de multiples formes : rédactionnel et visuel, tant photo que vidéo.
Marc Amiguet est membre du collectif Synergik.ch.
Madrid, New York, Copenhague: Cleo Bennoun s’installe où la vie la mène. Elle a lancé des campagnes sur les réseaux sociaux à l’Université City Science de Philadelphie. Elle a participé au lancement de la revue LVR dédiée aux femmes atteintes du cancer, à Madrid en 2013, tant à la rédaction qu’à la direction artistique.
Sa connaissance du français, de l’espagnol et de l’anglais, qu’elle enseigne en freelance, nous est précieuse: c’est à elle que sont confiées la transcription des interviews en anglais et en espagnol.